Psychologue clinicienne et hypnothérapeute, j’exerce en cabinet libéral à Bois-de-Villers, à 10 kms de Namur depuis une quinzaine d’années.
Je suis formée à la Nouvelle Hypnose par le Professeur Mairlot, psychiatre émérite, fondateur de l’Institut de Nouvelle Hypnose à Bruxelles.
La thérapie par l’hypnose, une psychothérapie qui traite les symptômes
L’hypnose fait partie de mes outils de choix
En effet, en tant que psychologue spécialisée en thérapie brèves humanistes, il me semblait important de proposer à mes patients des techniques permettant de travailler sur leurs symptômes (que ceux-ci soient liés à un burnout, un deuil, une séparation, des traumatismes, des difficultés dans son couple ou dans sa parentalité, le stress, la dépression, l’anxiété chronique, la difficulté à prendre une décision, à gérer ses émotions etc…).
L’être humain a des capacités
d’auto-guérisons puissantes
Ce potentiel vertueux est principalement actif dans l’inconscient.
Enfant, nous passons la majorité de notre temps dans un état de haute suggestibilité mais cet état s’amenuise en grandissant.
L’hypnothérapie vise à permettre au patient en souffrance de renouer avec cette capacité afin de débloquer certaines ressources nécessaires à la résolution de ses problèmes.
Le patient va réapprendre à modifier son état de conscience afin de se connecter avec un état autre, dit « modifié » entre la conscience et l’inconscient.
Mais très souvent, il ignore ses capacités d'auto-guérison
Je remarque combien pratiquer l’hypnothérapie avec mes patients permet en peu de temps à ceux-ci de se recentrer et se reconnecter avec un état de bien-être souvent oublié depuis longtemps.
Cela va permettre à la personne de trouver ses propres solutions
L’hypnose a vu le jour au 18ème siècle avec le docteur Mesmer, médecin viennois. L’hypnose est considérée comme la mère des thérapies.
Et depuis 1950, elle est reconnue par les grandes sociétés médicinales comme une pratique a la fois diagnostiques et thérapeutique.
La force de l’approche thérapeutique par l’hypnose est qu’elle va se centrer essentiellement sur les ressources propres de la personne.