L’EMDR, un allié de choix...
Exerçant mon activité professionnelle de psychologue clinicienne à Bois-de-Villers (en région namuroise), je pratique avec conviction l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) depuis plusieurs années maintenant lors de mes consultations.
L’EMDR est une approche psychothérapeutique fondée par la psychologue Mme Francine Shapiro en 1987.
Dans le traitement des difficultés psychologiques...
Cette méthode thérapeutique s’est montrée particulièrement efficace dans le traitement des traumatismes psychiques (viols, abus physiques et/ou psychologiques, maltraitance, harcèlement, accident de travail, catastrophe naturelle, témoin ou victime d’actes de violence etc…) mais aussi les phobies, les troubles dépressifs, le burnout, les séparations et les deuils.
Elle peut aussi être très adaptée pour aider le patient souffrant de pensées négatives ou de manque de confiance en soi.
Comme son petit frère l’EFT, l’EMDR est reconnu par l’Organisation Mondiale de la santé. Les études scientifiques démontrant ses effets bénéfiques sur le cerveau peuvent être consultées sur le site www.essentia.fr
L’EMDR est basé sur la stimulation bilatérale du cerveau. Cette stimulation va permettre ce qu’on appelle le Traitement Adaptatif de l’Information par le cerveau (TAI).
Formée par Ludwig Cornil, psychologue et fondateur de l’EMDR Belgium, je constate avec admiration les changements positifs de mes patients qui répondent favorablement à cette technique.
Une méthode scientifique très efficace... qui agit sur le cerveau !
La souffrance psychologique traumatique et/ou chronique est comme une mauvaise herbe qu’il faut pouvoir arracher. L’EMDR est pour cela une méthode redoutable.
Une thérapie pour des changements profonds et durables...
Aussi, j’associe régulièrement la pratique de l’EMDR à la thérapie car elle accélère le traitement et introduit des changements psychologiques profonds et durables.
Mais le psychothérapeute se trouve toujours à côté du patient...
Le fonctionnement cérébral n’a pas fini de nous surprendre et lorsque le patient découvre les ressources dont il dispose pour guérir, c’est un privilège que nous avons, nous, les psychothérapeutes d’être à ses côtés.